Les Algériens investissent particulièrement dans l’immobilier. Si leur arrivée sur le marché espagnol à la faveur de la crise et de l’effritement des cours de l’immobilier dans la péninsule ibérique, nos compatriotes jouent pour autant un rôle important sur les marchés mitoyens. En France, les Algériens occupent même des places enviables dans le top 5 des plus gros acquéreurs étrangers d’immobilier parisien.
Ces dernières années, l’idée selon laquelle les investisseurs du Golfe, notamment les Qataris, seraient les acheteurs d’immobilier parisien les plus actifs, s’est faite au fil de transactions médiatisées à souhait. Pourtant, une étude portant sur «Deux décennies d’immobilier en Ile-de-France», publiée jeudi par la Chambre des notaires franciliens, balaye toutes les idées reçues à ce propos. Selon les principales conclusions de l’étude, relayées par Le Nouvel Observateur et certains sites spécialisés dans l’immobilier en France, les acquéreurs étrangers, résidents et non résidents confondus, ont réalisé 8,3% des transactions en Ile-de-France en 2013 contre 5,3% en 1996.
Parmi ces acquéreurs, les Algériens occupent la quatrième place des plus importants investisseurs avec 5,3% des transactions. Ils suivent ainsi les Italiens (19,7%), les Chinois (7,1%) et les Américains (7%), à égalité avec les Britanniques (5,3%). Si l’on peut expliquer le positionnement des Algériens par l’importance de la communauté algérienne résidente en France, il faut savoir que ceux-ci occupent une bonne place en ce qui concerne les acquisitions dans l’immobilier de luxe.
Ainsi, selon les notaires franciliens, parmi les étrangers non résidents dont l’activité se concentre sur des appartements dont le prix est de 23% supérieur à la moyenne parisienne – une moyenne de 400 000 euros – les Algériens se positionnent aussi en quatrième position des plus gros investisseurs ; avec 2,2% des transactions, ils devancent les Britanniques (1,8%), mais suivent les Italiens largement en tête avec 7,3% des achats de non résidents, les Américains (3%) et les Libanais (2,5%).
Ces dernières années, l’idée selon laquelle les investisseurs du Golfe, notamment les Qataris, seraient les acheteurs d’immobilier parisien les plus actifs, s’est faite au fil de transactions médiatisées à souhait. Pourtant, une étude portant sur «Deux décennies d’immobilier en Ile-de-France», publiée jeudi par la Chambre des notaires franciliens, balaye toutes les idées reçues à ce propos. Selon les principales conclusions de l’étude, relayées par Le Nouvel Observateur et certains sites spécialisés dans l’immobilier en France, les acquéreurs étrangers, résidents et non résidents confondus, ont réalisé 8,3% des transactions en Ile-de-France en 2013 contre 5,3% en 1996.
Parmi ces acquéreurs, les Algériens occupent la quatrième place des plus importants investisseurs avec 5,3% des transactions. Ils suivent ainsi les Italiens (19,7%), les Chinois (7,1%) et les Américains (7%), à égalité avec les Britanniques (5,3%). Si l’on peut expliquer le positionnement des Algériens par l’importance de la communauté algérienne résidente en France, il faut savoir que ceux-ci occupent une bonne place en ce qui concerne les acquisitions dans l’immobilier de luxe.
Ainsi, selon les notaires franciliens, parmi les étrangers non résidents dont l’activité se concentre sur des appartements dont le prix est de 23% supérieur à la moyenne parisienne – une moyenne de 400 000 euros – les Algériens se positionnent aussi en quatrième position des plus gros investisseurs ; avec 2,2% des transactions, ils devancent les Britanniques (1,8%), mais suivent les Italiens largement en tête avec 7,3% des achats de non résidents, les Américains (3%) et les Libanais (2,5%).
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